oOo *Il était une fOis... MOi...* oOo

Petite sortie à Ponteaumur avec quelques personnes qui bossent avec moi à macdo :)

On aura bien rigolé, ça fait bien plaisir =)

Petit délire avec Bitoune au Cerey ^^

Donc petit montage aproprié xD

Un petit article que je ne pouvais pas rater sur ma petite Biitoune.

On a passé des moments très difficiles toutes les deux, et grâce à ça on s'est énormément rapprochées.

Ce 26 Août 2006 est une très mauvaise journée pour nous tous, et je sais qu'elle reste dans ton coeur et qu'elle te fait encore mal aujourd'hui...

Mais tu sais ma petite siista, j'apprends de jour en jour que jamais rien n'est perdu d'avance, que nous seul pouvons décider de la suite des évènements. Je te fais confiance pour réussir à entreprendre ce que tu désires et à y arriver.

Quoi que tu fasses, je serai toujours à tes côtés.

Je t'aiiime très fOrt !!

Le 8 mai 2007 je te rencontre.

Toi, ce petit bout d'homme dont je suis tout de suite tombée amoureuse.

Depuis maintenant plus d'un an je partage ma vie avec toi, mes joies, mes peines, mes doutes, et tu es toujours présent, là pour me réconforter.

Je ne saurai comment te dire réellement à quel point Je t'aime et à quel point tu es essentiel à ma vie.

Maintenant c'est à moi d'être là pour toi, et je sais que le meilleur est devant nous, que tu sauras me rendre heureuse une fois de plus, et je ferai de même :)

Ce 8 mai 2007 n'est que le commencement de tout cet amour que j'ai pour toi...

Peur d'être seule. Peur de perdre les personnes que j'aime, et surtout lui. Peur de vivre seule. Peur de ne pas être à la hauteur. Peur de m'endormir parc'que je sais qu'en me réveillant je serai angoissée. Peur de l'échec. Peur de ne pas savoir comment faire. Peur d'avoir peur. Peur de ne pas faire juste comme il faut. Peur de moi-même.

J'ai quand même du mal à me dire que le temps passe.
Qu'il passe, avec ses souvenirs, ses sentiments, ses envies...
J'ai simplement du mal à me voir impuissante face à toutes ces évolutions, à me dire que j'ai rien pu faire pour changer ça, que je peux (et que je dois) regarder toutes ces choses changer ou disparaître.


Et toi t'es seule.
Chaque matin, t'ouvres les yeux et tu cherches désespérément dans ta mémoire les souvenirs qui pourraient te donner envie de te lever.
Le poids de la solitude s'installe confortablement, et tu le portes. Parc'que tu dois et tu n'as pas le choix.
Et sous le poids qui vacille chaque jour un peu plus, la solitude appuie à chaque instant plus fort, plus longuement. Et elle te bouffe le coeur, te démange, mais elle est là.

Et chaque soir, quand tu tombes de fatigue, tu sais déjà ce qui t'attendras à l'instant même de ton réveil...


[[ C'était comme ça avant ]]

Née le 19 février 1990 à Chalon sur Sâone.

A trois ans mes parents m'ont emmené dans le Sud, à Port de Bouc, où j'ai vécu jusqu'à 15 ans et où j'ai fait de merveilleuses rencontres. [[ Crapotte, Pamplemousse, Loïc, Vin's, Samantha... ]]

Fin 2006, pour des raisons familiales j'ai du déménagé avec ma mère et ma petite soeur, direction Gueugnon en Saône et Loire. J'ai passé deux années très tristes, sans envie de rien, à devoir reconstruire une vie qui ne me convenait pas... J'ai jamais eu le courrage d'affronter tout ça.

Depuis Avril 2008 j'ai (encore) déménagé, mais cette fois à Riom, pour rejoindre mon chéri, avec qui je suis vraiment très heureuse.

J'parle beaucoup, j'ris pour rien. Enervante, chiante, raleuse, grande gueule. J'aime les voir. J'aime pas qu'on m'dise normale, j'préfère l'originalité. Mes humeurs s'obstinent toujours à tourner sans moi.
Remplie de bêtises, et encore plus de gourmandise. Même avec des devants de grande dure, j'suis une p'tite chose toute fragile (( mais ça chuuut siouplé! ))
J'aime la musique, marcher pieds nus dans l'herbe, rire jusqu'à en avoir mal au ventre, fermer les yeux et oublier.
J'aime prendre des photos, savoir où je mets les pieds, le regarder de haut pour pas qu'il me marche sur les pieds. J'suis simpa, transparente, un peu tête en l'air, parfois absente. Bête aussi, trop spontanée, un peu rêveuse, j'veux juste avancer.
J'aime écrire ce que je pense, p'têtre par peur d'oublier après. J'tiens à des gens qui en valent la peine, d'autres un peu moins, mais j'les aime quand même. Sensible. Têtue. J'suis sociable, timide, un cas désespéré ^^
..Et après ?..



Je suis de celles, qui ont le sourire dès qu'elles se lèvent le matin. Qui aiment leurs amis et qui iraient au bout du mOnde si jamais il fallait aller les chercher. Je suis de celles qu'on définit comme sérieuses, qui profitent de la vie comme si elles savaient qu'elles allaient mourir demain. Je suis de celles qui ne peuvent pas vivre sans leurs familles et leurs amis.
Je suis de celles qui ne baissent pas les bras devant les difficultés. Qui ont vécu bien plus que d'autres, qui ont versé bien plus de larmes. Je suis de celles qui dévorent la vie comme dans un rêve. Je suis de celles qui pensent des heures pour y trouver un peu de paix. Je suis de celles qui croient encore à la beauté du mOnde et de la vie. Je suis de celles qui ne perdent plus de temps, parce que la vie est bien trop courte.
Je suis de celles qui aiment se balader en plein été dans la campagne. Je suis de celles qui aiment le printemps aussi bien que l'hiver, qui aiment sauter dans les flaques d'eau, qui passent des heures au téléphone avec les personnes à qui elles tiennent vraiment.Je suis de celles qui font confiance aux gens même peut être trop.
Je suis de celles qui pleurent encore dans leurs chambres, parce6qu'il vaut mieux ça que d'arrêter de vivre. Je suis de celles qui ne sont pas belles, pas parfaites, pas merveilleuses, juste elles-mêmes.
Je suis de celles qui se fichent du monde, de la gène et autre intimidation. Quand elles sont accompagnées, elles courent dans tous les sens, rigolent pour un rien, semblent si heureuses. Je suis de celles qui pourtant rougiraient si vous étiez seuls avec elles. Un genre de peur de l'inconnu. Ces filles qui sont à l'aise. Mais pas partout, mais pas tout le temps.
Je suis de celles qui voient la vie en grand. Même trop grand des fois. Celles qui paraissent terre-à-terre parce qu'elles profitent de la vie, mais qui rêvent à un monde bien plus beau, trop souvent. Celles qui se nourrissent d'illusions, qui se prennent des murs bien plus souvent que vous ne pourriez le croire, et qui s'envolent alors que la réalité mitraille encore leur poitrine. Je suis de celles qui se souviennent de tout, qui ont peur d'oublier, et qui se droguent aux photos.
Je suis de celles qui parlent sans arrêt quand elles sont avec leurs meilleurs potes. Parce-que pour elles, l'or se trouve entre leurs mains. Ces filles-là puisent leur bonheur dans le cœur de leurs amis. Elles ont les yeux qui brillent, du matin au soir. Presque...
Elles s'accrochent aux gens et ont souvent du mal à les laisser partir. Elles souffrent en silence, parce-que pour elles ça n'a pas d'importance, aucun intérêt à être dévoilé.
Je suis de celles qui trouvent que la vie des autres est plus intéressante que la leur, mais qui au fond d'elles savent qu'elles peuvent encore décrocher la lune. Elles ont tout simplement peur, des fois, d'aller au bout de leurs rêves. Alors, elles se convainquent que la réalité est bien plus que le rêve, que le plus beau reste à venir. Je suis de celles qui changent d'humeur d'une seconde à l'autre, mais qui s'investissent toujours avec le cœur. Même si le pari semble fou, même si le défi semble irréalisable, suicidaire et utopique, elles vont au bout de ce qu'elles entreprennent.
Ca parait contradictoire, mais elle, elle est de celles...
...qui sont tout à fait incompréhensibles et imprévisibles...